La sauvegarde du nid d’oiseaux

«Si tu rencontres en ton chemin un nid d’oiseaux sur quelque arbre ou à terre, de jeunes oiseaux ou des oeufs sur lesquels soit posée la mère, tu ne prendras pas la mère avec sa couvée : tu es tenu de laisser s’envoler la mère, sauf à t’emparer des petits : de la sorte, tu seras heureux et tu verras se prolonger tes jours(1)

Afin de décourager le Bèn Yisraèl d’épouser la femme Yéfat toar prise dans la captivité, la Tora prescrit des dispositions dans le but de refroidir son ardeur à l’égard de la belle captive. Si, malgré tout, l’homme tient à l’épouser, la Tora lui prédit qu’il finira par la dédaigner et la répudier.

En plus, ayant un fils libertin et rebelle, il a le devoir de le traduire devant le Tribunal pour l’exécuter. Car s’il ne meurt pas innocent, il mourra coupable, si les parents ne dénoncent pas son libertinage, convaincu d’un crime méritant la mort.

Avec cet enchaînement de fautes, la Tora souligne que l’homme ne saurait éviter, dès qu’il se laisse aller, la déchéance morale.

En revanche, une mitswa accomplie donne à l’homme la force et la volonté d’entreprendre la réalisation d’autres mitswot, lui permettant d’évoluer vers la perfection morale.

Ainsi, pour la construction d’une maison, la Tora ordonne d’établir un appui, autour du toit. La pose de l’appui entraîne la réalisation aisée d’autres mitswot : les vêtements ne seront pas d’étoffe mixtemélange de laine et de lin, le port des cordons en franges aux quatre coins du vêtement.

Le Midrache(2) citant le texte(3) :

«Si tu rencontres en chemin un nid d’oiseaux…», rapporte : Le texte affirme(4) :

«Garde-toi de fouler le chemin de la vie. Ses sentiers sont mouvants, tu ne t’en douterais pas.» Que signifie «Garde-toi de fouler le chemin de la vie»?

Rabbi Abba, fils de Kahana, dit : le Saint béni soit-Il avertit [qu’il faut] éviter de mettre en balance les mitswot de la Tora à la manière de ce que le texte exprime(5) :

«Qui a jaugé la poussière de la terre, pesé au crochet les montagnes?» Ne pense point comme telle mitswa est importante, je la réaliserai car sa récompense est grande, et comme telle mitswa est légère, je ne la réaliserai pas. Que fit le Saint béni soit-Il? Il ne révèle pas aux hommes la récompense attribuée à chaque mitswa afin que toutes les mitswot soient accomplies avec intégrité tel qu’il est dit :

«Ses sentiers sont mouvants, tu ne t’en douterais pas

Ceci fait penser au roi qui, engageant des ouvriers pour planter son verger, ne leur précise pas le salaire afin qu’ils n’abandonnent une plante rapportant un salaire réduit au profit d’une autre plante rapportant un salaire élevé. Le soir, les ayant convoqués, il demande à l’un : de quelle plante t’es-tu occupé? Du poivrier. Le roi statue : le salaire du poivrier est d’un écu d’or. Il s’enquit de la plante dont s’est occupé le deuxième : du rosier blanc. Le salaire du rosier blanc est d’un demi-écu. Il interroge le troisième : de quelle plante t’es-tu occupé? Il répond : de l’olivier. Son salaire, précise le roi, est de deux cents zouz. Les ouvriers s’écrièrent : n’était-il pas mieux de nous informer à l’avance de la récompense la plus élevée afin que nous nous occupions de la plante qui la rapporte? Le roi réplique : si je vous avais informé, mon verger aurait-il été soigné?

Ainsi, le Saint béni soit-Il n’a pas dévoilé la récompense des mitswot à l’exception de deux dont l’une est la plus rigoureuse parmi les rigoureuses et l’autre la plus simple parmi les simples. Le respect du père et de la mère est la plus rigoureuse ayant en récompense la vie longue tel qu’il est dit(6) :

«Honore ton père et ta mère afin que tes jours se prolongent…» La libération du nid est la plus simple : sa récompense est la longue vie ainsi qu’il est dit(7) :

«Tu es tenu de laisser envoler la mère…de la sorte, tu seras heureux et tu verras se prolonger tes jours.» Aussi, est-il dit :

«Si tu rencontres en ton chemin un nid d’oiseaux…»

Le but du midrache est de souligner l’inutilité de vouloir établir une sélection parmi les mitswot afin d’accorder plus d’attention à celles paraissant plus importantes et qui rapporteraient une récompense élevée.

De fait, l’homme n’a pas de critère objectif pour juger de la valeur des mitswot si ce n’est l’effort investi pour accomplir une telle mitswa. Certes l’effort mérite en lui-même une récompense en ce sens qu’il nécessite une volonté constante et inébranlable.

En outre, le midrache porte l’accent sur la récompense allouée aux mitswot positives. Pour les, interdits, la nomenclature des châtiments rend compte de la gravité de la faute et, par suite, quiconque ferait l’effort de n’en point transgresser.

Le midrache fournit également une indication d’importance sur la conception de l’ensemble des mitswot qui, selon lui, s’érige en système. Chaque mitswa étant par elle-même importante, tient une place capitale dans ce système de telle sorte que, sans elle, l’ensemble serait imparfait. Rien de plus pénible et de plus frustrant pour une mitswa que de se voir reléguée et abandonnée. Elle monte, disent nos Maîtres, auprès du Créateur pour se plaindre du peu de considération dont elle est l’objet.

La perfection de la Tora repose sur la réalisation de toutes les mitswot. Certes, il est des mitswot impossibles à exécuter pour nombre de Bénè Yisraèl. Les mitswot des Kohanim n’intéressent que les Kohanim.

Une femme est dispensée de toutes les mitswot dépendant d’un temps fixe et déterminé.

Comment alors envisager la perfection de la Tora dans une telle perspective?

Les 613 mitswot forment un ensemble parfait et coalescent, et les Bénè Yisraèl constituent également une assemblée unie par des liens de solidarité. La perfection de la Tora ne se réalise qu’à travers l’ensemble des Bénè Yisraèl. Aussi ne doit-on pas, pour cette raison, faire un choix entre les différentes mitswot, surtout quand le choix se fait sur des critères de valeur et de récompense plus ou moins subjectifs.

Le midrache utilise, pour illustrer une telle conception, l’allégorie du jardin du roi. L’homme se doit, dans ce monde, de cultiver son jardin. L’objectif est de soigner tant la présentation que le contenu. Une plante vient à manquer et tout est imparfait.

Telle une symphonie où tous les instruments jouent chacun sa propre partition pour dégager une harmonie finale, ainsi le jardin, embelli par toutes les plantes, laisse apparaître l’unité de la nature.

Néanmoins, afin de mieux préserver l’unité et l’harmonie de la Tora, D’ieu cache à l’homme l’échelle de valeurs des mitswot. En effet, le rapport, la récompense constitue pour l’homme un facteur déterminant pour le choix de la mitswa. Il a tendance à vouloir la mitswa qui lui rapporte davantage.

Pour redresser une telle tendance, l’homme se doit de méditer les deux exemples cités par le midrache. Celui-ci examine deux cas extrêmes : l’honneur et le respect dûs aux parents ainsi que la mitswa de relâcher la mère oiseau pour garder les petits. Tous deux ont en récompense la longévité.

Pourtant, le respect des parents est la mitswa la plus difficile à réaliser. Le Talmoud(8) passe en revue plusieurs situations pour montrer jusqu’où peuvent aller les exigences d’une telle mitswa. Ainsi, Rav Dimi affirme :

«Une fois, portant une tunique de soie brodée d’or, il était assis parmi les dignitaires de Rome. Sa mère, s’étant présentée, lui déchira sa tunique, le frappa sur la tête et lui cracha au visage, sans riposter par un geste humiliant.»

Rabbi Tarfon présentait son dos comme marche-pied à sa mère pour descendre de son lit, ou pour y accéder. Pensant avoir accompli parfaitement la prescription d’honorer son pèrela mitswa de kibboud ab wa-èm, ses collègues lui apprennent qu’il ne s’est point encore acquitté de la moitié de la mitswa.

Il n’est point facile d’être constant dans l’accomplissement de cette mitswa. Il faut un combat de tout instant contre les incitations du Yètsèr ha-râ.

En revanche, la mitswa de chillouah ha-qènela prescription de relâcher la mère oiseau, est une mitswa simple, facile à réaliser puisqu’elle ne nécessite ni dépense, ni recherche, ni préparation. Il suffit de rencontrer sur son chemin le nid d’oiseau. Elle procure, néanmoins, la même récompense : une longue vie.

Les critères humains ne sont d’aucun secours. La logique perd son langage. Il ne reste qu’à obéir à toutes les prescriptions sans référence aucune à la récompense. Car agissant en fonction de la récompense, l’homme s’expose à l’erreur certaine. Aussi Chélomo affirme : «Garde-toi de fouler le chemin de la vie, autrement dit, les mitswot de la Tora, car ses sentiers sont mouvants, tu ne t’en douterais pas.»

Si tu rencontres en ton chemin un nid d’oiseaux sur quelque arbre ou à terre, de jeunes oiseaux ou des oeufs sur lesquels soit posée la mère, tu ne prendras pas la mère avec sa couvée.

Tu ne prendras pas la mère avec sa couvée.

Rambane, s’interrogeant sur la signification de cette prescription, pense qu’elle a le même motif que l’interdiction d’abattre une bête avec son fils le même jour(9).

La raison est que D’ieu veut inculquer et inspirer des sentiments de pitié et de miséricorde plutôt que de développer une tendance à la cruauté.

La deuxième raison consiste également à maintenir et à protéger les espèces de la nature car, vouloir s’accaparer de la mère avec sa couvée, comme abattre le père et le fils en un jour, peut entraîner l’extinction des espèces de la nature. Il exprime ainsi une idée bien avant-gardiste sur la protection de la nature.

Rambam(10) avance une autre raison à cette mitswa. La libération de la mère pour ne retenir que les oiseaux comme l’interdiction d’abattre une bête le même jour que son fils, suscitent, dit-il, une grande angoisse chez la mère. Les bêtes ont à ce niveau des sentiments comme des êtres humains. L’affection d’une mère, pour l’animal comme pour l’homme, ne se situe pas au niveau de l’intellect et de l’expression, mais plutôt au niveau de l’imagination et de la pensée.

L’interdiction relative à l’abattage de la mère et de son fils est, en réalité, la même relative à l’abattage du fils avant le père.

Certes les mitswot n’ont été prescrites que dans le but d’affiner l’âme de l’être humain. En effet, peu importe la manière dont la bête est abattue si ce n’est le fait d’accomplir la volonté de D’ieu qui, en soi, aide l’homme à atteindre la perfection morale visée. Ceci est d’autant plus vrai que D’ieu tient à ne point révéler la récompense attribuée aux mitswot.

Cependant, les mitswot répondent à une raison particulière et essentielle, inconnue de l’homme, qui apparaîtra un jour dans toute sa clarté. Elles sont là, non dans l’intérêt de D’ieu, mais dans celui de l’homme. Grâce aux mitswot, l’homme s’écarte de toutes les mauvaises croyances et des défauts et travers qui l’empêchent d’atteindre la perfection morale.

Ainsi s’exprime le Midrache(11) :

«Voici les animaux dont vous pouvez manger(12)» Qu’importe au Saint béni soit-Il qu’on abatte par le cou une bête pour la consommer ou qu’on l’abatte par la nuque? Gagne-t-Il ou perd-Il [quoi que ce soit]?

Que Lui importe que l’on mange des bêtes pures ou impures? Chélomo dit(13) :

«Si tu deviens sage, c’est pour toi.» Les mitswot ne furent prescrites que pour affiner les créatures et Israël tel qu’il est dit(14) :

«Les paroles de l’Ét’ernel sont des paroles pures; c’est de l’argent raffiné au creuset dans le sol et qui est sept fois épuré.» Ainsi : «Les paroles de l’Ét’ernel sont des paroles pures.» Pourquoi? «Toi, ô Seigneur, Tu les protège.»

En fait, indépendamment des raisons constitutives des mitswot, celles-ci, bien qu’étant inconnues dans l’état présent de l’homme, furent prescrites pour aider l’homme à atteindre la perfection morale et lui assurer la protection divine.

La mitswa de chillouah ha-qènela prescription de libérer la mère oiseau, s’inscrit donc dans la perspective, non pas d’inspirer à l’homme les sentiments de pitié, comment comprendre en effet la raison de la Tora pour permettre la Chéhital’abattage des bêtes? Elle veut plutôt éviter toute tendance à la cruauté. C’est le défaut qu’il s’agit d’écarter afin de parvenir à une perfection de l’âme.

De plus, D’ieu vise surtout notre bonheur. La Tora souligne(15) :

«Et Il nous prescrivit d’exécuter toutes ces lois, de révérer l’Ét’ernel, notre D’ieu, pour que nous fussions heureux à jamais, pour qu’Il conservât nos jours comme Il l’a fait jusqu’ici.»

Le Talmoud(16) enseigne, quant à lui, que les mitswot sont en fait des décrets.

Rabbènou Béhayè rapporte avec peu de changements l’explication de Rambane. Cependant, il ajoute que la réalisation d’une telle prescription suscite la miséricorde divine pour le monde dans son ensemble. Il dit, en effet :

«En la laissant s’envoler après avoir détruit son nid et éloigné ses petits, la mère, de peine et de souffrance, veut mettre fin à ses jours. Mais l’ange, responsable de toute l’espèce des oiseaux, intervient pour la consoler de sa peine. Alors D’ieu prend en pitié le monde et l’assure de Sa protection et lui accorde le bonheur.»

Une telle conception soutient que, pour attirer la miséricorde divine, il est nécessaire de séquestrer la couvée. La souffrance des innocents, des justes, est aussi à envisager comme prélude au rétablissement de l’harmonie et de la paix dans le monde.

Mais le Midrache(17) précise que la récompense d’une telle mitswa est d’avoir des enfants. Il est dit : «Laisse envoler la mère mais prends pour toi les enfants

Le midrache parle en principe de celui qui n’a pas eu encore des enfants. Pour Rabbènou Béhayè, cette mitswa est la vertu par laquelle l’homme pourra accéder aux enfants. Ainsi est-il rapporté dans le Talmoud(18) :

«Que devrait entreprendre l’homme pour avoir la sagesse? Qu’il adresse ses prières à celui qui détient la sagesse tel qu’il est dit(19) :

«C’est l’Ét’ernel, en effet, qui octroie la sagesse…» Que ferait l’homme pour avoir des enfants? Qu’il adresse ses prières à celui auquel appartiennent les enfants tel qu’il est dit(20) :

«Voyez, le vrai don de l’Ét’ernel ce sont des fils

En fait, l’ordre choisi pour de tels besoins indique que l’accès n’est possible que par une prière sincère et authentique à D’ieu.

Mais pour l’exécution de cette mitswa, dont la récompense est de mériter des enfants, il n’est pas nécessaire d’aller à sa recherche. Il suffit d’attendre qu’elle se présente au hasard d’une rencontre.

Bien plus, le même midrache souligne que cette mitswa contribue à hâter la venue du MachiahMessie et libérateur du peuple d’Israël.

Pour Sforno, cette mitswa renferme un bienfait rendu à l’ensemble de l’humanité puisqu’elle recommande la préservation des espèces, surtout les oiseaux des champs qui, en vérité, demeurent disponibles à tous. En respectant la mère qu’on laisse s’envoler, l’homme agit avec bonté. Et, pour cet acte de bonté qui ne lui coûte absolument rien, il a en guise de récompense le bonheur dans ce monde et dans le monde futur. Ainsi l’homme agira-t-il avec bonté et bienveillance à l’égard de tous.

Tu es tenu de laisser envoler la mère, sauf à t’emparer des petits; de la sorte, tu seras heureux et tu verras se prolonger tes jours.

Tu es tenu de laisser envoler la mère, sauf à t’emparer des petits.

Mèâm Loêz s’interroge sur le bien-fondé de laisser partir la mère plutôt que les enfants. Car si la raison est de ne pas détruire le nid, la logique voudrait au contraire que l’on favorise les petits qui n’ont pas encore profité de la vie.

En fait, la Tora met ainsi l’accent sur la récompense consécutive à l’effort que l’homme investit pour maintenir l’existence du monde. Cette mère, parce qu’elle a oeuvré pour perpétuer son espèce, mérite de vivre encore.

Bien plus, selon Rabbi Hiya, la Tora souligne davantage le mérite transmis par les ancêtres si déjà cette mère qui, n’ayant que le mérite d’avoir contribué à respecter la volonté divine dont la Création est pour perpétuer Sa gloire, a pu avoir la vie sauve, à fortiori pour l’homme qui, en plus de son mérite, détient celui de ses ancêtres.

De la sorte, tu seras heureux et tu verras se prolonger tes jours.

Kéli Yaqar étudie la similitude de la récompense réservée à celui qui respecte son père et sa mère ainsi qu’à celui qui laisse envoler la mère oiseau.

À propos de kibboud ab wa-èmle respect du père et de la mère, il est clair qu’en le voyant agir avec respect vis-à-vis de ses parents, ses fils agiront de la sorte.

De même, lorsque les enfants verront que l’on se conforme à la mitswa de chillouah ha-qènela prescription de laisser envoler la mère, ils apprendront à respecter davantage les parents.

La récompense réside dans le mérite de voir se prolonger ses jours car les deux mitswot ont pour effet de renforcer la foi en l’oeuvre de création ex-nihilo du monde. En effet, l’enfant atteste qu’il a un père et, en remontant à l’origine, l’on retrouve la Cause Première, autrement dit, D’ieu à qui on doit témoigner respect et honneur.

Aussi est-ce la raison qui fait que la prescription d’honorer les parents est juxtaposée à celle de respecter le Chabbat car, étant la preuve de la création du monde, il conduit l’homme à respecter aussi ses parents.

Ce principe va à l’encontre de ceux qui croient à l’ancienneté du monde. Pour eux, il n’y a pas plus de mérite à être le père qu’à être le fils et, par conséquent, le respect des parents n’est pas une obligation.

Aussi, le Midrache(21) relevant la juxtaposition entre la mitswa de chillouah ha-qène, et celle relative à la construction d’une maison neuve(22) :

«Quand tu bâtiras une maison neuve, tu établiras un appui autour du toit…», dit notamment : Tu as accompli la mitswa de chillouah ha-qène, de laisser envoler la mère, tu auras le mérite de bâtir une maison neuve.»

Appliquer cette prescription conduit l’homme à la croyance en la Création ex-nihilo du monde. Attester que D’ieu est le Créateur du monde revient à reconnaître également qu’Il préside aux destinées du monde et de l’humanité. Aussi en récompense, l’homme mérite, en plus du bonheur matériel dans ce monde, la vie éternelle du monde futur. Car s’attachant à D’ieu, source de vie, la mitswa lui procure longue vie.

1. Dévarim 22, 6-7.

2. Dévarim Rabba chap. 6, paragr. 2.

3. Dévarim 22, 6.

4. Michelè 5, 6.

5. Yéchâya 40, 13.

6. Chémot 20, 12.

7. Dévarim 22, 7.

8. Qiddouchine 31a et b.

9. cf. Wayi-qra 22, 28.

10. cf. Le Guide des Égarés vol. 3, chap. 48.

11. Tanhouma sur Chémini paragr. 8.

12. Wayi-qra 11, 2.

13. Michelè 9, 12.

14. Téhillim 12, 7.

15. Dévarim 6, 24.

16. Bérakhot 33b.

17. Dévarim Rabba chap. 6, paragr. 2.

18. Nidda 70b.

19. Michelè 2, 6.

20. Téhillim 127, 3.

21. Tanhouma sur Ki Tètsè paragr. 1.

22. Dévarim 22, 8.

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